Passez un été décapant et hilarant avec Métal Hurlant entre science-fiction et Hellfest

Iconiques. Décalés. Corrosifs. Passionnants. Voici les termes qui caractérisent le mieux ces deux numéros Métal Hurlant. Ces derniers nous feront passer un été du feu de Dieu tout en fêtant admirablement les 50 ans du magazine.
Tout commence par le numéro de Métal Hurlant consacré à Hellfest. Et oui pour le coup ils ont réuni deux de mes passions à savoir le métal et la science-fiction. J’ai trouvé mon Saint Graal. Après tout nous avions déjà pu observer le lien qui unit ces deux arts avec l’excellent Cthulhu Métal.
Dans ce magazine consacré au célèbre festival. Auquel je ne désespère pas d’aller. Le ton est donné dès la couverture de ce numéro de Métal Hurlant. Le Hellfest n’a jamais aussi bien porté son nom. Ainsi on y voit dans un décor incandescent l’illustre Lemmy mascotte du festival. Ici en créatures des enfers toute crocs dehors.
Tout au long de ce magazine consacré à Hellfest la part belle est donné au festival mais aussi au métal en lui-même. Comme le dit si bien Métal Hurlant « la bande dessinée et le métal une relation pleine de bruit et de fureur ». En avant-propos nous découvrons la playlist des lecteurs de Métal Hurlant. De plus en ouverture de chaque création l’artiste à son origine nous conseille la playlist à écouter en musique de fond.
Comme toujours avec ce magazine de passionnés ils arrivent à partager leur passion voire à décupler la notre. Si cela est possible bien sûr. Pour ma part, je me suis retrouvé dans l’éditorial de ce nouvel opus de Métal Hurlant des plus complet.
Ainsi « le punk, le hard rock, le métal et le reste font partie des meilleures choses que ce monde a à offrir. La bande-dessinée a toujours eu un destin parallèle et ce numéro de Métal Hurlant en est le témoignage ». Tout comme Jerry Frissen rédacteur en chef du magazine « j’écouterai du (…) métal jusqu’à ma mort et ensuite jusqu’en enfer bien sûr ».
Headbangers. Headbangeuses. Tenez-vous prêt le festival Hellfest version Métal Hurlant va commencer. Hell yeah ça va saigner à grand renfort de riff, d’humour caustique et de science-fiction. Le tout dans une ambiance littéralement endiablée. En gros tout ce que j’aime.
Ce nouveau numéro du magazine Métal Hurlant est une ode au métal, au Hellfest et à la science-fiction avec un humour caustique des plus décapant. Au menu des caricatures poussées à l’extrême et hilarantes. Celles-ci représentent les différentes personnes que l’on peut croiser au festival.
Préparez-vous à mourir de rire à grand renfort de jeux de mots et de caricatures pas piquées des hannetons. Celles-ci pourraient illustrer à merveille et à excès les idées reçues concernant les métalleux. Mais sont surtout réalisées avec beaucoup d’humour.
Parmi celles-ci on peut citer : le « look fan de heavy metal ». Mais aussi le « look black métalleux ». Concernant celui-ci on note un jeu de mots hilarant : « chanteur du groupe suédois Fiss Dëupüt ». Sans oublier le « look fœtus métalleux », le « look métalleuses ». Et j’en passe et des meilleurs. Le tout caricaturé à l’extrême avec un humour bien gras qui fait mouche.
Attention il nous faudra être sur nos gardes et aiguiser notre sens de l’observation. Cela pour voir les multiples références aux festivals et à la SF au cœur de ce Métal Hurlant consacré au Hellfest.
Chaque BD au sein de ce magazine nous plonge dans un univers différent ou plus précisément au cœur de l’imaginaire de ses créateurs. A chaque fois nous retrouvons en introduction : le titre, les artistes ou l’artiste à son origine. Le tout associé avec un conseil de playlist à écouter en lisant pour plonger encore plus profondément au cœur de l’expérience.
Tout commence dans ce numéro de Métal Hurlant consacré à Hellfest par une BD magistrale. Celle-ci est intitulée Hellfest in Hell. Le festival n’y a jamais aussi bien porté son nom. Aux manettes de ce chef d’œuvre diablement efficace Pat Mills au scénario et Olivier Ledroit au dessin.
Cette BD est un bel hommage au festival, au métal mais aussi à la science-fiction voire l’horreur. A noter le soucis constant du détail. Et ce dès le titre à savoir « Hellfest in Hell ». Le nom du festival reprend la typographie de celui-ci. De plus on retrouve son célèbre logo.
Attachez vos ceintures ce festival est des plus infernal. On note une dominance de rouge incandescent. Ce dernier rappelle les flammes de l’enfer. Puis nous plongeons au cœur de l’action. La première vignette met en scène un « camion de l’espace ». Celui-ci met le cap sur une planète irradiant d’une lueur incandescente. Accompagné de cet ordre. « Le camion de l’espace est là. Préparez-vous à décharger les cercueils ».
Le vaisseau atterrit au milieu des flammes. On se croirait en enfer. La vignette suivante met en scène un inquiétant comité d’accueil. On discerne le logo d’Hellfest sur leur tenue. Car oui durant notre lecture de ce magazine, il va falloir être des plus attentif.
Durant ce passage d’Hellfest in Hell, les bulles restituent les paroles d’une voix hors champ dont l’origine nous sera bientôt révélée. Celle-ci situe l’action si l’on peut dire. Ainsi « les plus grands noms du métal arrivent tout droit de leurs tombes terrestres pour se produire au Hellfest ». « Le plus prestigieux des festivals de métal de tout l’univers se déroulera devant un public composé de vampires, de goules, de zombies ». En gros un public d’enfer.
Dès la vignette suivante de ce magazine consacré à Hellfest on voit des cercueils descendre de la soute. Puis passer un détecteur de métal qui a de la gueule. L’humour est décapant tout au long de ce nouvel opus de Métal Hurlant. Puis la voix hors champ poursuit. « Passez-les au détecteur de métal. Vérifiez bien que l’esprit du métal coule dans leurs veines ». Car « on ne veut que du pur métal au Hellfest ».
Ce magazine est une œuvre de passionnés. Ceux-ci partagent avec humour leur passion tout en nous plongeant dans leur imaginaire. Dans cette BD, chaque arrivant se voit remettre son lot de bienvenu. Celui-ci ne manque pas de sel.
Ainsi il contient entre autres « de l’opium noir en illimité, des victimes gratuites. Ainsi qu’une suite de luxe à l’Hôtel California ». Belle référence aux Eagles. De plus un peu plus loin on voit un des invités d’honneur. Celui-ci se régale avec des « chips Hellfest ». On reconnaît dans celle-ci de la peau avec un tatouage reprenant le logo du célèbre festival.
Hellfest in Hell est une œuvre de passionnés et un bel hommage à la SF et au Hellfest. Bien sûr ce dernier ne serait rien sans notre cher Lemmy. Ici en Monsieur Loyal démoniaque toute crocs dehors. La voix hors champs était la sienne.
Notre cher ami nous donne le programme. Dans celui-ci nous retrouvons des références à la science-fiction voire à l’horreur. Dont au Comte Dracula qui va durant ce Hellfest des plus dément remettre un prix. Mais aussi à la comtesse Bathory ici une musicienne aux dents longues.
Concernant le comte Dracula il fait une entrée remarquée. Durant son apparition il porte une armure écarlate rappelant le film culte de Francis Ford Coppola. Nous avons aussi l’occasion de croiser durant cet étrange festival Aleister Crowley. Ce dernier est accompagné d’un vampire.
Durant ce passage de ce numéro de Métal Hurlant, un lien est établi avec beaucoup d’humour entre le métal et la SF. Ainsi le vampire interpelle Aleister Crowley « le festival est un merveilleux hommage aux vampires que nous sommes ». / « Tu trouves ? Moi ce à quoi je pense. C’est à tout le fric que les groupes se font sur mon dos (…) ».
S’ensuit une vignette sorte de gros plan sur le visage du vampire « voit plutôt ça comme un hommage au grand maître des arts noirs ». Plan sur le profil de Crowley « mais je veux mes royalties quand même. Qu’ils aillent se faire foutre avec leur hommage ».
Cette BD est pleine d’humour et gore à souhait. Ainsi au cours d’une vignette mettant en scène deux goules voire morts-vivants. On entend « il faut ranimer les flammes de l’enfer ». Ces derniers acquiescent « ouais le refroidissement climatique c’est la pire chose qui puisse arriver à notre monde ». Cette bande-dessinée est tout à la fois satyrique, acide, hilarante décapante, mais surtout diablement efficace.
Au détour des pages de ce numéro de Métal Hurlant consacré à Hellfest aux grés de l’imaginaire des artistes on croise un métalleux qui va croiser son destin. Cela via une guitare maudite ou bénit selon le point de vue. Il va se voir transmettre l’âme du métal. Mais aussi des contes métalleux mettant en scène le pouvoir ultime du métal.
Tout au long de ce magazine culte les références sont multiples. L’ombre de la cathédrale marquant l’entrée du festival n’est jamais loin. De plus de nombreuses créatures étranges diablement envoûtantes croisent notre route dont la déesse du métal.
En plus des BD au cœur de ce nouvel opus de Métal Hurlant on retrouve des articles captivants. Parmi ceux-ci « la BD et le métal une relation pleine de bruit et de fureur » de Vincent Brunner. On ne peut qu’être d’accord avec lui quand il déclare. « Les auteurs de BD et les amateurs de musiques extrêmes nourrissent une envie commune d’évasion ».
De plus il ajoute « indéniablement l’univers du métal se prête à ce genre d’association visuelle avec une inclinaison naturelle pour tout ce que notre revue célèbre depuis 50 ans comme la SF ou la fantasy ».
Métal Hurlant et les artistes qui se sont amusés au sein de ce numéro décapant et iconique ont rivalisé d’imagination pour restituer ou donner leur image du Hellfest. Des plus riche ce nouvel opus de ce magazine mérite de se découvrir. Ainsi je vous laisse la surprise et le plaisir de plonger en immersion totale dans ce numéro de Métal Hurlant. C’est pourquoi je ne passerais pas en revue toute les BD au cœur de cette petite merveille.
Cependant continuons notre exploration de ce magazine dédié au festival culte et à la SF. Au cours de notre lecture, il n’est pas rare de voir des visages enfin si l’on peut dire ou plutôt des créatures connues. Les références sont multiples.
Ainsi l’être apparaissant dans la première vignette de Sisyphe de Fabrizio Dori. Nous rappel un grand ancien voire plus précisément notre cher Cthulhu. Ce dernier surplombe un simple mortel qui va devoir surmonter l’épreuve ultime. A noter entre autres références au fil des pages : Pazuzu issu de l’Exorciste.
Qu’elle n’a pas été ma surprise et mon bonheur de découvrir une interview d’un de mes groupes favoris Gojira. Je les ai découvert avec l’album The Link et depuis je n’ai jamais cessé de les écouter. Cette interview s’intitule « Sur écoute » avec Mario Duplantier membre au groupe et frère du chanteur Joe Duplantier.
Durant cet entretien on apprend entre autres l’origine de leur logo. « Il a été dessiné par Joe. Nous étions influencés par les logos de Metallica et Sepultura. Donc il a été créé par mimétisme. Nous voulions nous intégrer dans la tradition des logos des groupes de métal légendaires. Nous avions une sorte de mission d’arriver à leur niveau (…). C’est maintenant notre marque de fabrique qui ne changera plus ! Nous y sommes attachés ». De plus concernant ce festival culte, « le Hellfest c’est une longue histoire. (…) C’est la famille maintenant ».
Cet opus de Métal Hurlant est une ode à Hellfest, au métal, à la SF. C’est devenu mon magazine de chevet. On navigue entre l’absurde, le gore, des histoires toutes à la fois hilarantes et décapantes. Parmi celles-ci le Journal d’un Hellfesteur de Camille Burger.
L’un des personnages ressemble comme deux gouttes d’eau à Ghost Rider. Tout simplement à mourir de rire. Au début on assiste à l’euphorie avant le festival. Puis c’est la chute. On assiste à la dure décompression postHellfest. A noter parmi les psychiatres de cet institut hors norme deux dieux égyptiens dont Anubis.
Ce nouvel opus de Métal Hurlant consacré au Hellfest s’intéresse aussi aux zombies. Dont dans La meute des damnés de Hugues Micol. A déguster selon l’auteur au son de A real live one d’Iron Maiden. Ou quand l’armée du métal combat une meute d’âmes damnées à grand renfort de riff.
Deuxième surprise, j’ai eu le bonheur de retrouver dans ce magazine, une œuvre de Pixel Vengeur. J’ai découvert cet artiste avec les excellentes BD Hellfest Metal Vortex, Hellfest Metal Love, Hellfest Metal Space. Celle-ci est intitulée Metalhead. Cette BD est tout simplement mortelle et n’aurait pas été reniée par Roméro.
Dans un premier temps on voit une planète au loin. Le plan se rapproche. Il s’agit d’une terre désolée couverte de crânes grimaçants et de tombes. S’ensuit un insert d’une main émergeant du sol. Les morts prennent vie et viennent pour le Hellfest. Le plan final est de toute beauté.
Tous les artistes au cœur de ce magazine rivalisent de talent et d’ingéniosité pour nous amuser, nous surprendre, nous charmer. Parmi ceux-ci Juanjo Guarindo et ses Gueules de métal. Sorte de bestiaire du Heavy Metal.
Amusez-vous à retrouver le modèle de ces caricatures diablement bien réalisé. Dont « des Australiens qui font les singes » (ACDC ), « un mec avec carrément une tête de lotte » (Aerosmith/ Steven Tyler ) .
Pour prolonger l’expérience je vous conseille la trilogie Hellfest Metal Vortex, Hellfest Metal Love, Hellfest Metal Space, mais aussi Metal Maniax. Mais surtout n’oubliez pas le slogan du Black dog « In metal we trust ».
Autre salle autre ambiance, si l’on peut dire, Métal Hurlant nous propose un cahier de vacances aux couleurs de la science-fiction et de la pop culture. Ce magazine est aussi l’occasion pour Métal Hurlant de fêter ces 50 ans de passion et de partage. Un musthave pour les fans de SF, mais aussi pour les adeptes de la BD et du style décapant de ce magazine culte.
Au menu 301 jeux SF pour mettre à mal nos connaissances et les enrichir, mais aussi 96 pages pop culture. Sans oublier un double poster inédit et cerise sur le gâteau une BD. Alors affutez vos crayons et votre matière grise. C’est parti pour un cahier de vacances SF des plus déjanté.
L’image de la couverture donne le ton. On y voit un extraterrestre à la plage les doigts de pied en éventail. Il est en train de feuilleter un numéro de Métal Hurlant. Belle mise en abîme. Cela a l’abri du soleil sous un parasol volant. Oui on ne le dit jamais assez une insolation c’est dangereux même pour un alien.
A vos crayons préparez-vous à faire fonctionner vos neurones tout en frôlant le claquage cérébral. Le tout bien sûr en apprenant et en s’amusant dans le style déjanté propre à Métal Hurlant. Parmi les jeux au cœur de ce cahier de vacances idéal pour les fans de SF et de BD.
On est pris « Au cœur du vortex ». Ce dernier porte bien son nom. C’est un labyrinthe des plus corsé. Mais aussi « Enter the grid ». Un mot mêlé à un niveau supérieur avec un côté limite effet miroir. Mais aussi des doubles pages consacrées à trouver les intrus. A côté de ça, Où est Charlie ? apparaît comme un petit joueur.
Cependant ce magazine va au-delà du simple cahier de jeux. Ainsi on retrouve des articles captivants sur la SF et la pop culture. Ceux-ci charmeront tout à la fois les passionnés et les curieux. Parmi ces petites merveilles on retrouve un article sur la Planète des singes. Toute jeune j’avais vu la version avec Charlton Heston. Celle-ci m’avait envoûté. J’ai ensuite lu l’ouvrage. Puis j’ai regardé les différentes adaptations plus ou moins inégales.
L’auteur Lloyd Chery est passionné et passionnant. Il maîtrise le sujet et nous plonge en pleine histoire du cinéma, mais aussi du ou plutôt des films. Cela dans un style facile à lire. Concernant la Planète des singes on apprend entre autres qu’En 1963.
« Les Éditions Julliard publient ce qui deviendra un classique de la science-fiction. Écrit par Pierre Boule à la suite d’une rencontre avec des gorilles dans un zoo. La Planète des singes a rapidement été traduit à l’étranger».
Mais aussi « la Planète des singes va devenir un incontournable notamment grâce à une adaptation hollywoodienne mythique ». Plus étonnant encore « Il faut remonter à Jules Vernes pour qu’une œuvre de science-fiction française connaisse une telle popularité ». Je vous laisse le plaisir de découvrir plus en profondeur l’article intitulé « La Planète des singes, un conte philosophique » de Lloyd Chery.
Au fil des page de ce Cahier de vacances proposé par Métal Hurlant, la science-fiction et ses thèmes clef se déclinent. Cela à travers des articles mais aussi des jeux et des quiz. Ceux-ci testent nos connaissances sur la SF, la littérature, la BD. Le petit plus en complément des réponses des explications des plus complètes et accessibles à tous.
De plus ce cahier de vacances est l’occasion pour Métal Hurlant de fêter en beauté ses 50 ans. Ainsi on y retrouve l’histoire de ce magazine et des Humanoïdes associés. Rêve de passionnés devenu réalité. Ils n’ont pas fini de nous faire rêver et de nous surprendre.
Bien sûr qui dit SF dit Lovecraft un article de Lloyd Chery lui est consacré « Lovecraft éternel maître de l’horreur ». Pas besoin de revenir en détails sur ma passion concernant les œuvres et l’univers de cet auteur. Mon seul regret est d’avoir raté le numéro de Métal Hurlant lui étant dédié « Murmures et chuchotements ».
Comme le dit si bien Lloyd Chery « H.P. Lovecraft est un monstre de la littérature fantastique ayant marqué la pop culture ». Son œuvre est une source constante d’inspiration. Que ce soit pour la littérature, le cinéma, mais aussi la musique et les jeux vidéo.
De plus Lloyd Chery évoque certaines réinterprétations ou mises en images exceptionnelles dont celles de François Baranger. Je vous recommande aussi la version Manga de Gou Tanabe. Pour ma part j’ai toute la collection.
Un peu plus loin nous retrouvons dans ce magazine un nouvel article de Lloyd Chery. Celui-ci est consacré au culte Comte Zaroff. Je me rappelle avoir vue plus jeune une version en noir et blanc des plus captivante.
A son origine « une nouvelle datant de 1924 de l’écrivain et scénariste Richard Connell. On compte maintenant une quinzaine de remakes de ce chef d’œuvre qui a posé les bases du survival un sous-genre du cinéma d’horreur ».
Ce cahier de vacances proposé par Métal Hurlant contient de nombreux articles captivants. Le choix fut difficile pour vous en présenter quelqu’un. Ceux-ci correspondent à mes goûts. A noter et si l’on peut dire pour mon plus grand étonnement un article de Lloyd Chery sur le manga Kingdom. Pour ma part je n’ai pas encore eu le plaisir de le lire. Cependant j’ai été fascinée par les films adaptés du manga.
A noter aussi un article de Lloyd Chery consacré au film Dune de David Lynch. Œuvre qui plus jeune m’avait fait découvrir Frank Herbert et qui quand je l’ai revu adulte avait mal vieilli. Cet article s’intitule « Il y a 40 ans sortait Dune de David Lynch ».
Parmi les différents jeux au cœur de ce cahier de vacances proposé par Métal Hurlant. Un test « quelle science-fiction vous fait rêver ? ». Pour ma part j’ai été des plus étonnés par mon résultat. À savoir science fantasy, alors que je suis plutôt attirée par le Space opera. De plus associé à notre résultat on retrouve des œuvres recommandées. C’est une invitation à explorer plus en profondeur les différents genres de SF.
En complément ou plutôt cerise sur le gâteau la présence d’une BD. En même temps rien de plus normal avec Métal Hurlant. Celle-ci est déstabilisante et captivante. C’est une sorte de mise en abîme sous forme d’hommage aux jeux de plateaux, vidéo.
Avec le magazine Métal Hurlant et ses deux dernières nouveautés l’été rimera avec science-fiction ou ne sera pas.
Métal Hurlant Hellfest. Prix :22€ et Cahier de vacances Métal Hurlant Prix : 12,50 €
Pour plus d’information : https://www.humano.com/metal-hurlant